Mourir sans rire

Les rires dans ton dos
Te dit que tu as tort.
Ta vie sur un radeau
Dans le courant se plie et se tord		Tes amis sont là
Te regardent, mais ne font rien.
Tu les vois, les voilà,
Mais tu sais que rien n'est bien.
Tu peux mourir sans vivre,
Mais peux-tu vivre sans mourir?
On me dit que la vie n'est pas un livre,
Mais ne vaut-il pas mieux les lire et rire? 		Sans vie, sans ami, tu abandonnes.
Trop tard pour qu'il te la redonne.
Tu n'es plus là pour les pardonner!
Ils ne sont plus là pour t'étonner!  
Sojen Bocorbeault



H.T. J'ai créer ce poème dans mon cour de mathématique ce lundi. J'ai été inspiré par les gens qui riaient dans mon dos pour une raison que j'ignore. Je sais néanmoins que ce n'était pas de moi qu'ils riaient. Qui vous a dit que c'était seulement les cours de français qui pouvait vous inspirer en littérature? Et qui vous a dit que les lundis étaient toujours ennuyeux? Clairement pas moi.
Ah! J'oubliais! Je l'avais écrit comme ça sur ma feuille pour une raison qui m'est inconnue. Par la suite, j'ai remarqué qu'il se lisait aussi bien de droite à gauche que de haut en bas. Donc, j'ai décidé de le présenter de la même manière.

Commentaires

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

La décision ultime

En outre, c'est ma partie de  L’ennuyeuse histoire d'une inconnue , mon point de vu, ma manière de voir les choses. En gros, ce que Sojen a dit est vrai, sauf toute la partie sentimental. Il est vrai que ma vie n'avait rien d'excitant, que je l'ai rencontré à peu près comme il l'a décrit et que j'ai un vrai passion pour l'écriture. Par contre, ce n'est pas vrai que nous sommes en couple. Je sais qu'il m'aime, mais je ne sais pas si moi je l'aime. Je le considère tout de même comme mon meilleur ami. [supprimé par Sojen] Je ne suis pas prête pour ce genre de relation, pas encore. C'est vrai que c'est lui qui m'a donné l'idée du blog, mais je n'étais pas aussi émotive que dans son récit. J'étais contente qu'il me donne l'idée, mais je n'étais pas aussi excité que ce qu'il décrivait. Il a plutôt tendance à exagérer les choses. J'imagine que son amour me rend idéal a ses yeux. C'était tout de mê
Lire la suite

La loterie du perdu

La nuit venait de tomber. Il faisait noir. Un homme vêtu de noir marchait seul dans la rue. Il ne semblait pas menaçant malgré ses habits. Son visage était doux et ses traits étaient fins. Il semblait presque à un enfant. Un enfant perdu. Seul dans la nuit. En restant ainsi placé, l'unique passager d'une rue déserte, il risque d'attiré sur lui le joue de la loterie du perdu. Trop tard! Le sort s’abat sur lui. Que va-t-il recevoir? La roue tourne. Il a obtenu une lutte acharnée contre une brute qui se trouvait dans les parages. Le barbare le menace, lui prend l'épaule pour lui faire face, puis le combat commence. C'est l'homme en noir qui donne le premier coup pour ce défendre de l'assaillant. Quelques minutes plus tard, le bandit prend le fuite et l'homme était couché au sol couvert de sang. La loterie frappe de nouveau. Cette fois-ci, va-t-elle donné quelque chose de bon ou de mauvais? Ce n'est pas son jour de chance aujourd'hui. Un vagabond mal
Lire la suite

Ma correction

Juste pour rectifier ce que Calie a écrit, ça ne me dérange pas de recevoir des commentaire négatif tant qu'ils soient constructifs. Je veux m’améliorer et on ne peut pas vraiment le faire sans aide, donc n'hésitez pas à me faire des remarques qui m'aideront dans ce domaine. Kaïken H. T. Je n'écris pas beaucoup dans ce texte, car je suis déjà entrain d'écrire un histoire qui me passionne énormément et qui capte toute mon attention.
Lire la suite